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La réception des sûretés sur biens incorporels dans l’ordre international

Catégorie: 
Théses
Docteur :Monsieur Alexandre MENNUCCI
Date de la soutenance :04 Novembre 2020
Horaires :De 9h00 à 12h00
Adresse :Salle des conseils du centre Panthéon – 12, place du Panthéon - 75231 PARIS CEDEX 05
Discipline :Droit
Ajouter au Calendrier 11/04/2020 09:00 11/04/2020 12:00 Europe/Paris La réception des sûretés sur biens incorporels dans l’ordre international Dans le monde actuel, l’active circulation des hommes et des marchandises conduit à une importante utilisation des sûretés réelles – notamment sur biens incorporels (créances, droits de propriété intellectuelle, titres financiers, etc.) – en garantie d’opérations de crédit international. Dans l’ord...
Adresse :Salle des conseils du centre Panthéon – 12, place du Panthéon - 75231 PARIS CEDEX 05
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Jury :

Monsieur Michel GRIMALDI - Professeur des Universités (Université Paris 2), directeur de thèse

Monsieur Philippe DUPICHOT - Professeur des Universités (Université Paris 1), rapporteur

Monsieur Charles GIJSBERS - Professeur des Universités (Université de Rouen-Normandie), rapporteur

Monsieur Georges AFFAKI - Professeur associé (Université Paris 2)

Madame Sabine CORNELOUP - Professeur des Universités (Université Paris 2)

Madame Claire SÉJEAN-CHAZAL - Professeur des Universités (Université de Lille)
 

Dans le monde actuel, l’active circulation des hommes et des marchandises conduit à une importante utilisation des sûretés réelles – notamment sur biens incorporels (créances, droits de propriété intellectuelle, titres financiers, etc.) – en garantie d’opérations de crédit international. Dans l’ordre international, il n’existe pas (encore ?) de sûreté sur bien incorporel uniforme, doté d’un régime commun pour tous les pays ; les garanties réelles restent adossées à des ordres juridiques de référence. L’enjeu consiste donc à déterminer de quelle manière il conviendrait de donner effet, dans l’ordre juridique français, aux sûretés sur biens incorporels constituées à l’étranger. Si la méthode de la reconnaissance semble disqualifiée en raison d’obstacles techniques, politiques et jurisprudentiels trop importants et des difficultés de détermination d’un ordre juridique de référence unique, celle de l’adaptation de la sûreté étrangère par assimilation à une sûreté locale de rattachement paraît la plus pertinente, au regard notamment de la protection des intérêts de chacun – créanciers, étrangers et nationaux, et débiteurs.

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Le port du masque et le respect des gestes barrières sont obligatoires.
La tenue de l’événement est liée à l'évolution de la situation sanitaire, connectez-vous régulièrement pour vous tenir informé.